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La maladie et sa signification.


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Selon l'Académie royale espagnole, la maladie est un état produit chez un être vivant par l'altération d'un de ses organes ou de l'organisme tout entier. Si cette définition vous paraît un peu vague, nous sommes deux.


Si cela est dû à une altération, il doit y avoir une cause, mais cela doit être très sporadique et très rare, car la santé est l'état naturel du corps d'un être vivant. Or, si l'on observe les populations des différentes espèces animales et végétales dans la nature sans entrer dans les détails, on se rend compte que cette affirmation est vraie pour elles. Rares sont celles qui naissent avec une maladie ou la développent, et, généralement, la sélection naturelle les élimine. Les champignons, les virus et les bactéries sont presque toujours à l'origine de certaines maladies et coexistent même sans entraîner de conséquences majeures. On ne pense pas à des « zèbres atteints de cancer », des « lions atteints de la maladie de Crohn » ou des « kangourous atteints d'endométriose ». En réalité, la plupart des changements négatifs qui peuvent survenir chez les animaux, les plantes ou d'autres êtres vivants sur la planète sont principalement dus à l'intervention humaine, qui entraîne des changements radicaux dans l'environnement et l'équilibre naturel.


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Mais alors, pourquoi les êtres humains sont-ils si malades ? Comment est-il possible que la plupart des gens luttent constamment contre une maladie, d'une manière ou d'une autre, sans même en avoir conscience ? Bébés, enfants, adultes, personnes âgées, ceux qui ne sont pas atteints la réclament.


Et pourquoi sommes-nous si mal adaptés ? Si vous étiez comme vous êtes, nus, sans vêtements ni crème solaire, vous ne pourriez supporter longtemps le soleil ou le froid. Et même si certains sont mieux adaptés au soleil grâce à leur peau plus foncée ou plus épaisse, leur exposition est limitée. Avez-vous déjà vu un ours dépouiller un phoque pour se protéger du froid, ou un autre animal devoir se vêtir du pelage d'un autre animal pour se protéger ? Si nous étions des primates, pourquoi tous les autres conservent-ils leur fourrure alors que nous sommes glabres ? La nature a-t-elle anticipé que nous n'en aurions plus besoin, car nous porterions des jeans et des vestes dans quelques milliers d'années ? En d'autres termes, nous avons évolué vers une relation plus difficile avec l'environnement et des changements qui ne nous rendent pas plus adaptables, sans parler de notre progéniture, qui, pendant des années, est pratiquement incapable de survivre avec l'indépendance que pourraient avoir les autres animaux, y compris les primates eux-mêmes. Un bébé humain est totalement impuissant et dépendant, incapable de marcher, de courir, de s'accrocher à la fourrure de sa mère ou de grimper, de trouver de la nourriture et de l'eau par lui-même, de prendre des décisions ou de chasser de la nourriture.


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Quelque chose ne colle pas, et si vous êtes ici en train de lire cet article, c'est que vous avez commencé à vous poser des questions et à douter du schéma qu'on vous a enseigné. Vous commencez à vous éloigner du troupeau, à remettre en question de nombreux aspects de l'existence, par exemple. Vous vous sentez peut-être malade et cherchez des réponses que votre médecin n'a pas pu vous apporter. Si cet article ne fait que vous faire rire, rassurez-vous, il est difficile de remettre en question des choses que l'on n'a jamais envisagées autrement. Ce n'est pas votre heure ; peut-être qu'un jour, un événement vous rappellera une lecture similaire et vous fera le lien. Avancez à votre rythme.


Si vous persistez dans cette voie, c'est que vous envisagez réellement d'aller plus loin et que vous cherchez des solutions alternatives. Dans tous les cas, vous devez faire preuve d'une grande ouverture d'esprit pour comprendre les informations transmises aux autres et assimiler de nouvelles connaissances qui vous permettront d'évoluer et de grandir. Tout ce qui vous paraîtra complètement fou ou qui dépassera vos normes sera automatiquement rejeté par votre logique, car l'essentiel est que vous soyez « endoctriné ». Voyez tout comme une possibilité. Il faut « désapprendre ».


Quelle est la maladie ?


La question est vraiment : qu’êtes-vous ?


Sans entrer dans de grandes définitions, commençons par la partie la plus dense, la matière, et en l'occurrence le corps biologique, un mécanisme magnifique et complexe, disons que c'est un costume que l'on porte. On peut aussi utiliser le terme « véhicule ». Nous reviendrons plus en détail dans un prochain article.


Imaginez-vous dans votre voiture. Vous n'êtes pas la voiture. La voiture vous contient, vous transporte, a une fonction. Vous pouvez faire avec elle des choses qui vous seraient très difficiles, voire impossibles. Des voyants s'allument pour signaler une panne d'huile, d'essence, un problème de moteur ou de freins. Mais vous les ignorez et continuez à l'utiliser. Il arrive parfois que rien ne se passe, car la voiture vous a prévenu. Vous mettez de l'essence et elle continue de rouler, mais les autres voyants restent allumés. Le mécanicien coûte cher et prend du temps. Peut-être avez-vous fait un bon entretien, remplacé certaines pièces et la voiture fonctionnera plus longtemps, même si l'usure se fera sentir au bout de quelques années, selon l'usage et l'entretien. Ou peut-être avez-vous simplement ignoré tous les avertissements et votre voiture s'est détériorée au point de devenir inutilisable, irréparable car les principaux mécanismes qui la faisaient fonctionner étaient cassés.


Dans cet exemple, l'icône représente le symptôme, qui commence par vous avertir que quelque chose ne va pas, et la maladie serait la défaillance de divers mécanismes due au fait que vous avez ignoré l'avertissement. Parfois, elle est réparable, parfois non.

Si, en plus, vous utilisez du carburant rempli de déchets au lieu d'un bon carburant, votre système se bouchera ou toute cette saleté s'accumulera jusqu'à ce que la voiture tombe en panne.


N'oubliez pas que dans cet exemple, vous n'êtes pas la voiture. C'est elle qui dépend de vous pour son bon fonctionnement.


Le corps biologique est empoisonné à une échelle incompréhensible et inimaginable pour l'homme. Au niveau de la nutrition, de la respiration, des fréquences, des émotions et du psychisme. Ce « véhicule » est suffisamment résistant pour résister à toutes les contraintes chimiques, physiques et électromagnétiques que notre chère planète tridimensionnelle altérée lui impose. Le simple fait de survivre est déjà un acte héroïque.


Vous devez être attentif à la qualité du carburant que vous mettez dans votre voiture. Dès le ventre de votre mère, vous recevez du poison. Les aliments transformés, les conserves, le pain, les sucreries et bien d'autres choses sont chargés de codes indéchiffrables pour l'organisme. C'est une véritable soupe de toxines. Le corps ne sait tout simplement pas quoi faire de la plupart des compléments alimentaires et des aliments que vous consommez. Au niveau moléculaire, ces informations sont méconnaissables et la cellule ne peut pas les utiliser.


Si nous ajoutons à cela les vêtements, les savons, les détergents, les produits de soins capillaires, le maquillage, les crèmes et lotions pour la peau qui sont pour la plupart toxiques et cancérigènes, les chaussures avec des semelles en matériaux isolants qui ne permettent pas une décharge correcte de l'électricité statique qui s'accumule dans votre corps, le fluor dans l'eau et le stress qui vous maintient inconsciemment dans un état d'alerte, de fuite ou de combat qui se traduit par des produits chimiques libérés dans notre circulation sanguine en permanence, avec toutes les conséquences qui y sont associées, vous vous rendrez compte que votre santé n'est pas une priorité pour les gouvernements, ni pour les industries productrices, ni pour les grandes entreprises et corporations transnationales dont vous ne connaissez pas les noms ou les véritables propriétaires.


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Additifs, exhausteurs de goût, colorants… tout cela ne vous est pas inconnu. Vous connaissez aussi les pesticides, vous en avez entendu parler quelque part, vous avez entendu parler de certaines choses. Mais vous achetez toujours le moins cher, car la quantité prime sur la qualité.


Vous devez vous arrêter et reconsidérer vos priorités.


LE CHANGEMENT COMMENCE PAR LA CONSCIENCE.


Analyser votre journée peut être la clé pour améliorer votre santé. Prenez quelques minutes pour analyser votre routine : ce que vous avez fait, ce que vous avez mangé, la fréquence de vos respirations profondes, votre posture au travail ou lors des tâches ménagères, comment vous vous sentiez en famille, entre amis ou entre collègues, ce qui vous préoccupe, ce que vous aimeriez changer et pourquoi, combien de fois vous avez consommé des glucides raffinés comme le pain, les bonbons, les sucres, les aliments ultra-transformés, la quantité d'eau que vous avez bue, si vous portez des lunettes ou même si vous n'en portez pas, essayez de vous rappeler combien de fois vous avez détourné le regard de ce que vous regardiez de près pour regarder quelque chose de loin, la position détendue de vos yeux, ou si vous avez beaucoup d'appareils électroniques à portée de main en permanence.



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ACHETEZ LOCAL.

Après avoir pris conscience de cet exercice et si vous le répétez plusieurs jours, idéalement avant d'aller vous coucher, il est évident que vous devrez modifier votre routine. Personne ne peut le faire à votre place, c'est votre responsabilité. Quelques changements peuvent faire toute la différence et orienter votre vie vers un avenir meilleur. Vous pouvez utiliser un chronomètre ou une application mobile qui vous rappelle de vous arrêter et de respirer profondément plusieurs fois par jour, de détendre vos yeux ou, si vous travaillez beaucoup assis, de vous lever et de bouger quelques secondes. Apprenez à identifier les pensées et sentiments négatifs dominants et à les transformer en quelque chose de positif, d'harmonieux et de joyeux.

Pour ce qui est de l'alimentation, pensez à acheter auprès de producteurs locaux, peut-être de petites entreprises ou des fermes, et si vous pouvez récolter une partie de vos aliments, tant mieux. Renseignez-vous et vous trouverez sûrement des endroits où la récolte est la plus naturelle possible, et où la viande que vous consommez provient de producteurs conscients de l'importance du pâturage et du bon traitement des animaux. Essayez de cuisiner vos aliments à la maison autant que possible et évitez les conserves, les emballages et les produits transformés à haute température. Lisez attentivement les étiquettes. Évitez le blé ou essayez un blé biologique moulu dans un moulin à pierre plutôt que dans une machine industrielle. Si vous trouvez une boulangerie qui fait du pain au levain, essayez d'en consommer et voyez comment cela se passe. Cependant, la consommation de blé, quel qu'il soit, devrait être considérablement réduite. Les produits laitiers dépendent beaucoup de votre lieu de résidence. Dans certains endroits, vous pouvez encore avoir accès à du lait nature non pasteurisé et à des fromages maison, mais la quasi-totalité des produits laitiers vendus en supermarché, même s'ils sont annoncés sans hormones ni antibiotiques, ne sont pas des aliments que notre corps peut assimiler. Dans le cas des sucreries, il est préférable de faire de la confiture maison avec un peu de sucre ou de la sucrer avec du miel et de rechercher des options plus naturelles avec des sucres que notre corps peut reconnaître, comme ceux présents dans les fruits, par exemple.


Une fois que vous aurez repris le contrôle qui vous a été arraché par l'information, la manipulation et l'endoctrinement, vous aurez franchi une étape cruciale vers la guérison sous toutes ses formes. Une fois que vous en aurez pris conscience, il n'y aura plus de retour en arrière possible et, petit à petit, vous vibrerez de nouvelles informations. Un monde auparavant invisible, même lorsqu'il était autour de vous, deviendra alors visible et possible. Il est temps de reconsidérer l'histoire. Vous n'avez pas évolué à partir des primates ici sur Terre, vous n'êtes pas le corps, et la réalité visible n'est pas tout ce qui existe. C'est peut-être votre maladie qui vous a conduit sur ce chemin, dans le seul but de vous faire évoluer.


Par : Janet Rodriguez

23/07/2023


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